Avançant d'un pas déterminé au milieu des arbres Brunkaath n'étais guère rassuré par ces derniers. Ce n'est pas qu'il avait particulièrement peur de leur coté maladif, maléfique et contaminé, non. Ce qui le rendait si nerveux serait plus tôt les étranges bêtes que pouvaient cacher les arbres. En effet cette forêt était reconnue pour ses animaux infernaux, qui c'est si Brunkaath ne tomberai pas nez à nez avec un Gorghon dont l'appétit serait au beau fixe. Priant les dieux chaotiques il avança tout de même dans l'espoir de trouver ripaille.
Au fur et à mesure de ses pérégrinations il tomba alors sur une clairière emplie de bruit et de rire qu'il associa directement à ces congénères, les Hommes-bêtes. En approchant il vit que l'endroit se composait pour la majorité des ungors qui eux-mêmes étaient dirigés par des gors. Voyant arriver le nouveau venu un silence de mort s'installa sur la clairière. Brunkaath fût néanmoins confiant en son charisme naturel et du poids de ses prochaines paroles, à moins que ce soit le poids de sa hache qui le rassurai à tel point qu'il hurla :
« Que le prétendu chef de cette troupe se présente à moi, je prend le contrôle et lui retire tous droit à la vie ».
L'interpellé, un gor d'une carrure respectable se leva furibond pour répondre au duel qui venait d'être lancé.
La foule forma alors un cercle duquel on pouvait entendre : « le duel des cornes ». Les deux duellistes combattirent donc comme le veux la coutume, à coût de cornes. L'empoignade fût de courtes durée puisque Brunkaath d'un cout très bien ajusté empala le ventre du malheureux à la première estocade. Brunkaath profita du dernier souffle du vaincu pour terminer sa basse besogne et l'éventré dans un grand mouvement circulaire de la tête. Une fois relevée et les cornes du vaincu en sa possession, il hurla :
« Moi, Brunkaath le vil, prend le contrôle, suivez-moi et je vous promet pillage, boisson et combat».
La harde en délire commença à scander le nom de leur nouveau chef qui prit à nouveau la parole pour dire :
« En avant mes frères allons vers la reikwald,là bas des villages attendent d'être pillés »
Et sur ce dernier discours la troupe se mit en route à coups de corps de chasse et de chants entonnés dans le noir langage qui était celui des hommes-bêtes.
armées:
20 Gors pour 100 points
Les Gors forment l'essentiel des hardes. Leur apparence varie, mais tous combinent des traits de l'homme et de l'animal. L'aspect le plus commun d'un homme-bête est constitué par des jambes et une tête de bouc avec un torse d'homme particulièrement poilu et malodorant. Un homme-bête possède des crocs afin de déchirer la chair de sa proie, et un corps musclé et robuste (en plus d'être infesté de parasites) parfaitement adapté à satisfaire ses instincts meurtriers.
30 ungors pour 100 points
Les ungors (terme qui signifie "sans cornes" dans la langue des hommes-bêtes) ne sont pas aussi forts ni robustes que les Gors, mais ils compensent cette faiblesse par leur amour du mal.
total : 200 points