Quelque part dans les terres arides (peut importe) [Mission]

La tribu orque des Nez Cassés est une tribu nomade.
Depuis quelques temps maintenant les membres de cette tribu colportent le bruit selon lequel leur chef Grospiff serait invincible en combat singulier et que toutes les têtes de gobz ne les croyants pas pouvaient tenter de venir affronter leur chef !

Cette étrange témoignage commence à attirer l’intérêt sur ce chef de tribu orque car il est clair qu'un mystère se cache la dessous.



Mission de niveau 1 à 5. Pas de limite de points d'armée pour vous accompagner. Le chef sur de son invincibilité n'ordonnera pas à ses boyz de vous attaquer à moins que vous n'engagiez le combat contre eux (Mais vous pouvez choisir de le faire, adaptation en fonction du niveau).

Voila des heures que ma troupe et moi-même étions dans les plaines des terres arides à chercher le camp de l’orque dénommé Grospiff. Pourtant le chef ninja Yamamoto était formel quand à l’endroit ou devait se trouver le camp, mais dans ces terres complètement désertique les lieus pouvait paraitre si longue qu’il était possible que je ne sois pas encore en vue du camp. Une heure de plus me donna raison et nous vîmes alors le camp en question. J’indiquais à mes hommes de rester hors de vue du camp et de m’attendre, en cas de bataille il me faudrait un plan de repli même si je croyais vraiment que l’orque voudrait m’affronter seul. Je m’avançai alors dans le camp, tous les orques me regardait d’une ère de dégout, l’envie de tuer était palpable, je me dirigeai ver le centre du camp la main sur la garde de mon katana et l’autre tenant la bride de mon cheval. J’arrivais enfin devant la tente principale, la ou mon adversaire devait résider. Je mis pied en terre et sortie mon katana tous en disant

Yoshihiro « orque sort de da tente, ta mort et arriver, en ce jour tu trouveras plus fort que toi »

Même si personne ne comprenais mes parole l’intonation employer devrai être compris par tous. Puis je me souvins des leçons de reskpil de Faride et dit un seul mot qui pourrait être interpréter au moins par le chaman. Et donc dans un souffle je dis :

« Meurs »

Le chaman traduit tous haut le seul mot qu’il comprit et alors un grand cri se fît entendre sous la tente. Le combat allé commencer

Un homme venant des îles nippones a décidé de défier le grand chef GrossPiff !

Yoshihiro arriva avec sa troupe face à la tente en peau de bête du grand chef. Une immense tente de la taille d'un petit palais.

Alors qu'il s'approche il prononce un seul mot compréhensible par les orques.

< < MEURS > >

Une immense clameur jailli de sous la tente.

Sort alors un flot de gobelins et d'orques de sous la tente. Puis en dernier quelques orques noirs, dont l'un d'eux plus grand que les autres, équipé d'une armure visiblement volée car de plutôt bonne facture.

Il s'avance dans le cercle maintenant formé par sa Waaaagggghhhh tenant fermement d'une main un énorme marteau de guerre et de l'autre une énorme épée lourde qui n'est visiblement pas de facture orque. Toutes deux étant faites pour être maniées à deux mains par un homme normal mais que lui manie d'une main.

-J'Suis Grosspiff le chef de cette Waaaaggghhh ! St'entre toi et moi maint'nan ! J'vé t'brizé le piff !

A ces derniers mot les orques présents hurlèrent leur joie.

L'immense orque noir se rua alors sur Yoshihiro.

Après le grand cri on pût voir des gobelins d'étaler de la grande tente, certain sortaient même avec des membres en moins. Ensuite survint ce que je pris pour la garde rapprochée du chef Grosspiff, plus grand plus musculeux et surtout une couleur de peau plus foncé. Ils se mirent en bon ordre formant un rang de chaque coter de la tente. Je fusse surpris par cette soudaine discipline chez des êtres que je prenais pour des barbares. J'avais le sentiment d'avoir échappé à un terrible ennemi à la bataille du canyon, si seulement une unité de ces « monstres » avait été sur place et bien il y aurait eu de sérieuse compliquassions. Toujours et t-il que leur présence fût effacée par celle de leur chef, qui était encore plus grand et plus large que ces prédécesseurs. Sous son armure de facture étrangère à la race orque on pouvait voir une musculature des plus impressionnantes et qui aurait certainement fait blêmir Faride. Le chef tenez dans chaque main une arme lourde, une hache et une épée. La taille de ces armes finies par me convaincre que mon adversaire viendrait certainement à bout de moi d'un seul coup s'il avait l'occasion de me toucher bien sur.

Mon adversaire avait pour lui les muscles, la taille, la force et la robustesse de son espèce. Quant à moi j'avais la légèreté, la vitesse, la technique et surtout un sens tactique qui ne se résumé pas à abattre mes armes sur l'ennemie jusqu'à ce qu'il meurs.
L'orque déblatéra alors dans son langage barbare est parti dans une charge folle. J'esquivais celle-ci au moment même ou il arriver sur moi cela le renden encore plus colérique. Je répétais la même chose à chaque fois, si il m'approcher j'esquivais au dernier moment pour partir hors de portée de c'est lame, ce qui le rendit fou de rage. Voilà en quoi la tactique avait une importance. Les écrits d'un grand tacticien disaient que si l'on se trouvait en face d'un ennemi colérique il fallait le faire sortir de c'est gonds, ce que je fît à merveille avec mon ennemie à peau verte. Ne réfléchissant plus à ces action, il ne faisait que me charger dans le but de me pulvériser sous la masse de c'est coup. Mais sans jamais me toucher, hors à chaque esquive j'arrivais à blesser l'orque entre les interstices de l'armure. Mes coups n'étaient certainement pas asses fort pour réellement faire souffrir mon ennemi, mais elle avait le don de l'énerver encore plus et de le fatiguer. Les nippons n'étaient pas reconnus pour leurs forces physique après tous, mais belle et bien pour leur technique et leur précision redoutable. Malheureusement pour la bête en face de moi, car dans ces domaines j'étais un expert. Mais cette technique de fuite prendrai bientôt fin, car je m'essoufflais aussi à un rythme alarment et mon ennemie rester quant à lui, des plus toniques.

Alors, survint la faille que j'attendais, une nouvelle charge de mon ennemie ou il fît descendre son épée à toute vitesse sur moi. D'un bon en arrière j'esquivais le coup qui broya le carré de terre ou je me trouvais l'instant d'avant. Dans le même temps il fît partir sa hache dans un mouvement circulaire visant à me trancher la tête. D'un reflex que seul les maîtres d'arme peuvent se vanter, je m'abaissais pour une nouvelle fois laisser passer la lame. Une fois debout je me mis à attaquer levant mon arme pour feinter un mouvement allant faire une diagonale de bas en haut de mon ennemie. Celui si eu la présence d'esprit de mètre son arme en position de parade. Seulement alors je rétractais mon coup pour partir sur une rotation total de mon corps. Me trouvent dos à mon ennemie en un éclaire, j'inversai la prise sur ma lame et fît partir celle-ci en direction de la mâchoire dénudé de mon adversaire, j'espérais que l'impact serait de taille.

Yoshihiro tentait, et cela avec succès, d'énerver son adversaire qui se mit à frapper sans réfléchir.
Certains pourront ici argumenter qu'un orque frappe toujours sans réfléchir et ils auraient sans doute raison.

Néanmoins la technique de Yoshihiro lui permit d'esquiver les nombreux coups de l'orque et de lui faire plusieurs entailles.


Autour des deux combattants s'est formé un cercle d'environ vingt mètres de diamètre composé de spectateurs.

Yoshihiro réussit une action brillante et transperce la mâchoire de l'orque de son katana. Néanmoins il manque de chance et le coup n'est pas mortel.

L'orque hurlant de rage, et de douleur, coupe violemment en deux de son épée lourde, un pauvre gobelin se trouvant à coté de lui car les combattants se sont rapprochés des bordure du cercle à cause des nombreuses esquives de Yoshihiro.

Celui-ci peut alors voir les diverses blessures de l'orque se refermer très rapidement après la mort du gobelin.
Lequel se rue alors sur un Yoshihiro stupéfié, l'orque semblant totalement revigoré réussit à porter un violent coup de marteau en direction des côtes de Yoshihiro. Celui-ci par chance réussit in extremis à interposer son arme.

Par un miracle son arme ne se brise pas malgré la puissance du coup mais le samouraï est envoyé rouler au sol sur une bonne dizaine de mètre en longeant le coté du cercle.

Malgré qu'il n'ai aucune blessure grave Yoshihiro est très secoué par le coup reçu et par l'étrange guérison de l'orque.

Mon attaque réussi avec succès, la lame logée dans la mâchoire de la bête je pensais en avoir terminé avec l'orque. Mais un cri d'une puissance incomparable sortie alors de la gorge de mon ennemies, mon ennemie n'était que blesser, j'avais sous-estimer la résistance de la peau orque. Fou de colère le chef Grosspiff pulvérisa un gobelin qui se trouvait dans la foule. Cela ne m'interpella pas sur le coup, mais le fait que les nombreuses entaille que je lui avais fait ce refermais déjà comme si l'orque avait le pouvoir de régénérescence d'un troll m'inquiété grandement. Il fût alors évident que je devais à tout prix rompre le contact avec mon ennemie. D'un coup sec je sortie ma lame de la mâchoire de l'orque qui était déjà en trin d'armée un coup. J'eux seulement le temps d'interposer mon katana pour ne pas voir ma tête broyer. Le coup fût terrible et m'envoya paitre de l'autre coter du cercle formé par les spectateurs. Sonner je me remettais debout avant le prochain assaut, heureusement mon ennemie était en trin de ce pavaner devant ces troupes pensent m'avoir tué, ce qui me laissa le temps d'élaborer une nouvelle tactique et par la même de reprendre mes esprits.

Il était clair que l'épée était enchanté à présent et celle-ci permettait à son possesseur de se régénéré à condition que la lame soit gorgée de sang. Donc il suffisait de lui retirer son arme pour pouvoir ensuite tuer l'orque ou bien de décapiter celui si, aucune magie ne pouvait remettre une tête sur les épaules de quelqu'un, puis cette arme avait besoin de victime pour que sa magie soit opérante. Mon plan était établi il suffit de l'exécuter. Je me dirigeais lentement vers le centre du cercle former pour le duel, bien au milieu du cercle, là ou l'on pouvait être le plus loin de toute victime, à par moi bien sur.

L'orque se retourna alors pour regarder dans ma direction, on pouvait lire dans son regard que le fait que je sois en vie était le plus grand affront qu'on ne lui est jamais fait. Claquant c'est armes l'une contre l'autre tous en beuglant l'orque chargea. Cette fois il n'était pas question d'esquiver indéfiniment mon adversaire. Car maintenant il connaissait l'entourloupe et puis surtout du fait que cette technique déplaçait le combat et cela voudrais dire rapprocher l'orque de potentiels victimes qui pourrait alors le revigorer. Une fois sur moi l'orque envoya dans ma direction sa grosse bote en plein sur mon torse dans le but évident de le pulvériser sous la force du coup. D'une pulsion de ma jambe gauche j'esquivais le coup de justesse, alors mon ennemie fît partir son marteau vers ma tête dans un mouvement de haut en bas. Comme précédemment j'esquivais larme d'un bon en arrière, je m'avançais alors et d'un mouvement circulaire je blésais le genou de mon adversaire toujours au niveau des interstices. Un nouveau cri vint accueillir la douleur provoqué par mon attaque. Un nouveau coup d'épée partit dans ma direction, voilà le moment temps attendu. Profitant dû fait de la grande taille de ma cible j'effectuais une roulade passant sous larme ennemie, me réceptionnant je me retournais et d'un grand mouvement j'abattis mon katana visant les doigts tenant l'épée. Sans doigts l'épée ne serait bientôt plus en possession de mon adversaire.

Yoshihiro grâce à son attaque audacieuse réussit à trancher les doigts de l'orque.

L'épée tomba dans un grand fracas au sol.
Néanmoins l'orque très peu blessé, seulement au genou, réussi à éloigner l'humain d'un coup de masse circulaire. Délaissant sa masse il récupère l'épée magique par terre.

Il regarde alors autour de lui, visiblement à la recherche d'une victime mais se rend compte qu'il est au milieu du cercle. Et il ne peut pas tourner le dos à son adversaire.

Le cerveau de l'orque ne fait qu'un tour dans son crâne : Il a une victime : Le petit homme qui l'énerve tant depuis tout à l'heure.

Il se rue donc sur lui sans pousser sa réflexion plus loin (c'est un orque faut pas trop lui en demander).

La masse avait bien failli me déchiqueter le corps, mais un bon en arrière et une frappe de ma lame détourna le coup, même si celui si m’engourdis le bras sous la force du coup. D'une rapidité improbable grosspiff lâcha son arme et ramassa l'épée magique. Ce mouvement était évident, surtout venant d'un orque. Celui si remarqua enfin qu'il était loin de toute proie, sauf moi, alors il se rua à ma rencontre dans le but de m'embrocher vivant sur son énorme épée. Je me remis en posture de garde. L'orque fît partir à nouveau sa lame dans ma direction, le coup par chance plutôt que par technique de la part du monstre, avait était porté au moment propice et avec asses de rapidité pour que je ne puisse l'éviter. Mais prendre le coup de plein fouée m'aurait certainement brisé le bras au minimum. Une nouvelle fois je détournais le coup grâce à une garde haute de mon katana.

Mais cela n'arrêta pas l'orque qui me bourra de coup. Encore est encore l'orque m'attaquer avec toujours plus de force. Mes forces commencé à me quitter il fallait absolument que je face une action, même si cela serait des plus dangereux. Alors qu'un nouveau coup se préparait je me fendis en avant frappant de toutes mes forces sur l'épée de grosspiff. Le bras de celui si partie en arrière sous la force du coup et le poids de son épée. Voilà enfin le moment propice à une attaque bien placer. L'aisselle de mon adversaire était découverte, le seul morceau de chaire visible sous cette armure complète. Avec de la chance mon coup porterai jusqu'au cœur de l'animal puisque je me trouvais sur la droite de l'orque. Je partis donc dans une estocade qui avait pour but de planter ma lame dans l'aisselle qui m'étais offerte, j'avais foi dans la finesse et le tranchant de ma lame et j'allais la mettre à rude épreuve.

Le coup de Yoshihiro porta à l'endroit voulu.

La blessure mortelle ne tua pas l'orque sur le coup.

Celui-ci réunissant ses dernières forces tente alors de rejoindre le bord du cercle pour tuer l'un des gobelins car il sent la vie s'échapper.

Décidément les orques faisaient des guerrier effrayant, ma lame de planta comme voulu, mais le cuir épais qui servait de peau a grosspiff lui avait encore une fois permit de survivre. Cependant la faiblesse était en trin de poindre dans le corps de cette machine de guerre. Retirant ma lame et m’écartant en vue d’une attaque de l’orque je me remis en garde. Étonnamment l’orque fût plus intelligent que je ne pensais, il se leva et commença à courir vers le cercle pour revigorer sa lame. C’était la dernière erreur qu’il ferait de sa misérable vie, profitant de sa déconcentration je l’attaquais en une frappe visant le pied gauche, celui si fût trancher nette sous l’impacte ce qui fît tomber l’orque. Il tombât dans un bruit aussi assourdissant qu’une avalanche. Même après cette nouvelle blessure il se mit à rampé pour sa survie. Je me mis lentement au niveau de la tête de l’orque celui si me regarda avec un regard tout aussi haineux qu’à l’aurore du combat. Il tenta en vint de me frappé de sa lame, mais le poids de son armure fût trop lourd pour lui et il s’étala de tous son long sur le sol poussiéreux. Je pointai alors ma lame en l’aire et l’abaissa d’un grand mouvement sec, se qui eu pour effet de décapiter l’orque, la fin du règne de grosspiff était arrivé. Le dernier flot de vie du monstre s’écoula en un geyser de sang qui diminua au fur et à mesure, j’ordonnai à mes hommes de dépouiller l’orque de son armure et de c’est armes, cela ferait un très beau présent pour mon allié Ogre. Les orques 10 fois supérieurs en nombre ne firent aucun mouvement ne croyant toujours pas à la mort de leur chef. Dans un dernier regard à la foule je dis les seul paroles qu’ils avaient comprises

« MEURS »

Puis me remettant en selle ma troupe et moi repartir vers le camp. Ils nous rester encore des heures de marche dans cette endroit désolée et je santé maintenant que certain os de mon bras et quelque cotes avaient cédai sous la force des coups de l’orque, décidément je n’étais pas passé loin d’une mort violente. J’en remercierais les dieux une fois de retour au camp.