Principauté d'Altdorf

Telle une machine en marche Brunkaath pulvérisa la porte dans sa charge. Entrant dans ce qui semblait être la taverne du coin, il scruta les alentour pour voir si personne ne résidé ici, il devait certainement y avoir quelqu'un. En regardant bien il vue dans le fond de la pièce des humains entassés les un sur les autres. Tous tremblant qu'ils étaient certains porter tous de même leur outil de travail comme arme de fortune, un avec une fourche et un autre avec une petite hache. Brunkaath sourit. Voilà tous ce que pouvaient opposer ces humains à leur fin toute proche. Renversant des tables tous en beuglant une injure dans sa langue bestiale, L'albinos chargea à nouveau.

D'un coup latéral de son arme à deux mains il fît volée en éclat la fourche du premier humain, qui était dans la même foulé couper en deux par la hache. Le deuxième quant à lui tremblé dors est déjà de peur. Une odeur d'excrément se fît sentir dans la salle. L'homme dans un excès de courage tenta une frape à l'aveugle. Le chef de harde évita le coup avec une facilité déconcertante, puis d'une main il souleva l'humain. Lâchant sa grosse hache à terre, Brunkaath utilisa cette nouvelle main libre pour arracher la tête de l'infortuné. Toute l'assembler se mit a crié de terreur. S'ensuivit un massacre sans pareil dans la taverne, du sang et des organes étaient logés dans tous les recoins, même les enfants n'étaient pas épargnés par le bouc blanc.
Sortant du lieu de son forfait le chef dit à c'est guerrier.

Brunkaath : « Bruler pas s'te maison, il faut qu'les impériaux comprennes qu'on est pas la pour rigoler. Brûler tous l'reste ».

Il n'avait pas besoin de donner l'ordre de brulé les maisons, car plus de la moitie étaient déjà en proie aux flammes quant aux reste elles étaient déjà en trin d'être pillé. Les cris de douleur et de peur étaient audibles dans tout le village, des corps éparpillé jonché les rues.

La garnison en faction n'avait pas tenue une seconde, quand les minotaures avaient chargé les miliciens avaient déjà commencé à fuir dans toutes les directions sachant qu'ils n'avaient aucune chance. Les escarmouches qui suivirent ne furet qu'une purge et non une bataille digne de ce nom.

Trois heures suffirent aux hommes-bêtes pour exterminer toute vie dans le village et rassemblé toutes les provisions possibles.
La journée avait été tellement bonne que Brunkaath ce jura de faire de même demain, il fallait profiter du fait que la rumeur ne soit pas encore colle porter, car après beaucoup plus de soldat serait en faction dans les villages. Les prochains jours s'annonçaient faste pour sa harde. Mais avant tout ce soir serait une bonne soirée de beuverie, encore une fois.

L'unité d'Hawkins arriva dans la principauté d'Altdorf au bout de deux jours de marche forcée. La pluie n'avait pas duré et donc la progression en avait été facilitée. Les soldats ne semblaient pas vraiment épuisés, ce qui était une bonne chose en cas d'embuscade. Le soleil était entré dans sa phase descendante et le froid commençait à reprendre ses droits.
Alors qu'ils arrivèrent non loin d'un tout petit village, James remarqua un camp militaire à côté du village. A l'allure du camp, de ses tentes et de la discipline qui y régnait c'était sans nul doute un camp de l'armée impériale.
Hawkins fit signe à sa colonne de se diriger vers le camp. Lorsque les hommes aperçurent à leur tour les tentes alliés, ils en furent tous soulagés et heureux.

Les soldats d'Hawkins et lui-même arrivèrent dans le camp au bout de dix minutes. Les résidents du campement observèrent avec curiosité les nouveaux arrivants. Certains saluèrent leurs collègues et leur souhaitait bienvenue.
Hawkins et Vilkus se dirigèrent tout de suite vers ce qui semblait être la tente de commandement du camp. Les soldats de l'unité posèrent leurs barda en attendant les ordres.

- Qui commande ces hommes ? demanda directement le commandant Hawkins.
- C'est moi, répondit un chevalier. Vous êtes le Commandant James Hawkins ?
- En effet, c'est bien moi, pourquoi ?
- Nous avons ordres de nous placer sous votre commandement, nous vous attendions ici, car c'est l'itinéraire que vous avec indiqué dans votre dernier message au commandement.
- Parfait ! Avoir de nouvelles troupes ne me fera pas de mal, surtout avec ces armées ennemis qui trainent dans les parages.
- D'après un rapport, un village de la principauté à été mis à sac par des Hommes-Bêtes très récemment.
- Et bien... Nous allons devoir riposter le plus fort possible. Venez avec moi et faites rassembler tout les hommes.

Le chevalier donna un ordre à un soldats qui sonna dans un cor pour ordonner le rassemblement. Tout les soldats du camp, y compris ceux de l'unité de base d'Hawkins se mirent en rangs devant la tente de commandement. Alors qu'ils étaient au garde-à-vous, James dit :

- Messieurs, je suis le Commandant James Hawkins, vous êtes maintenant sous mon commandement. Je suis très heureux de pouvoir avoir tant d'hommes aussi valeureux avec moi ! D'après les rapports, une armée ennemie a mis à sac un village de la principauté d'Altdorf ! Ce n'est pas acceptable ! Nous allons donc contre-attaquer pour venger cet affront et les morts de notre peuple ! Pour l'Empire !

Tous les hommes reprirent l'acclamation à l'Empire avec une grande joie ! Apparemment, ils avaient hâte d'en découdre avec les envahisseurs ! Hawkins retourna sous la tente de commandement après que les hommes se furent dispersés, il devait prendre connaissances des tout derniers rapports. Et à dire vrai, lui aussi, il avait hâte d'en découdre avec l'ennemi et de le bouter hors du territoire impérial !

L’alcool avait encore coulé a flot cette nuit, encore une nuit courte, encore une nuit sans aucun souvenir, et encore une nuit avec des morts. Les compagnons de boisson de Brunkaath et lui-même n’étaient pas considérai comme les plus calme des hommes-bêtes, surtout si ils avaient bu, mais cela n’était que broutille. Non ce qui énerver Brunkaath c’était cette gueule de bois qu’il avait depuis le début de la journée. Pour une fois il c’était lever à l’aube avec sa harde, pour une raison bien spécifique, le pillage. Celui de la veille fût tellement bon que l’albinos avait décidé de remettre ça, donc le revoilà avec ces guerrier en trin de marcher jusqu'à la principauté d’altdorf.

Alors qu’il dormait à moitié en marchant Brunkaath fût interpeler par l’un de ces subordonner, un demi corne qu’il avait consigné à l’avent garde de la petite armée, au cas où il y aurait une force imposante en face. Et il avait bien fait.

Ungors « chef chef , ya tous plein d’umains qui sont la bas tous droit d’van nous »

Brunkaath « Beaucoup qu’tu dit, pis il viennent vers nous ou qu’il font aute chose ? »

Ungors « nan ils viennent pas dans la forêt ils attendent sur un terrain découvert, pis qu’ils on un gros machin qui crache du fer, faut pas y aller »

Le bouc blanc parti alors dans un rire sonore et profond.

*enfin des ennemies qui vont pouvoir me faire marré, pis comme sa ma gueule de bois passera, parfait *

Brunkaath « amène nous la bas on va pas s’laissai faire par des baltringue d’umains , on va tous les massacré avant d’les manger , j’f’rai une nouvelle bannière avec la peau d’leur chef »

Et la horde grouillante marcha une bonne heure avant d’arriver en bordure du bois. Une fois sur place on pouvaient voir à travers les arbres une armée en bonne ordre des fidèle soldats de l’empire. L’éclaireur n’avait pas menti une bonne bataille se préparer. Alors le reste de la harde aperçu les humains, et tous commençaient à hurler rien quant pensant au futur massacre. Mais personne ne bougea, avant tous Brunkaath devait déterminer comment il organisera c’est troupe. Les fils du chaos restaient donc dans la forêt, attendant l’ordre ultime. Il n’y avait aucun doute, l’ennemie les avaient repérer la bataille serait sanglante.

Féanor dévala la pente douce avec son côté Annaëlle sa lionne , il faillit tomber plusieurs fois mais l'agilité surnaturelle des elfes lui permit de rester droit...

Sous ses yeux se jouait un Duel Entre sûrement Hawkins et un Hommes bêtes au pelage blanc...
Le maître de compagnie criait sa rage à la face du monde, aucun combat depuis des jours et la soif de vengeance coulait dans ses veines , une Caractéristique Anar qui quelques fois les menait dans de mauvais drap...
La Compagnie arriva à quelques pas des combats entre les deux protagonistes , le combat était serré mais le Commandant humain semblait posséder une légère avance sur son homologue Hommes bêtes...
Le cliquetis des deux doubles haches de Féanor se fit de plus en plus fréquents sa cadence s'accéléré son pouls augmentait lui aussi , puis soudain quand il arriva vers Hawkins le combat était finit.Les hommes bêtes fuirent vers la forêt sombre et mystérieuse non loin du champs de batailles...


Des soldats impériaux virent les Elfes fondrent vers eux , et l'un d'eux chuchota au chef Humain qui se retourna instantanément vers Féanor et sa compagnie à sa suite qui le suivait non loin.


Féanor rangea ses armes dans son dos , pendant que ça lionne rugit de rage pour faire fuirent les Hommes Bêtes pour éviter un quelconque zèle de leur part.
Le Maîtres de Compagnie salua bien bas le capitaine Humain et prit la parole

" Bonsoir commandant Impérial Hawkins ..."

La terrible bataille contre les hommes-bêtes venait à peine de se terminer. James reprenait son souffle, il n'en pouvait plus... Chaque soldat impérial était exténué. Tous avaient combattu courageusement l'ennemi qu'ils avaient finalement vaincu.
Alors que les derniers hommes-bêtes fuyaient dans la forêt, le commandant humain entendit un des bruits de pas. Mais James ne chercha pas à comprendre ce qui produisait ce bruit tellement il était fatigué. Un chevalier survivant vint lui chuchoter à l'oreille :

- Mon commandant, vous devriez vous retournez.

Sans même répondre, Hawkins se retourna et il fut bouche bée ! Toute une armée d'elfes se tenait à proximité de ce qui avait été un terrible champ de bataille ! Un elfe portant deux haches sur son dos s'avança vers lui. Une lionne le suivait comme son ombre. Elle rugit sur les hommes-bêtes pour les dissuader de revenir ! Le commandant des elfes arriva devant le commandant humain et prit la parole :

- Bonsoir commandant Impérial Hawkins ...
- Euh... Bonsoir, répondit James, toujours aussi surpris. Qui êtes-vous et que venait vous faire ici ?

C'était une bonne chose que des elfes soit ici, même si leurs intentions étaient toujours mystérieuses, ils ne semblaient pas hostiles aux survivants de la bataille. Le commandant elfe était vraiment impressionnant avec ses deux haches dans le dos et sa tenue lui faisait dégager une autorité que James n'avait vu que peu de fois. Dans ce charnier, avec tout les cadavres humains et hommes-bêtes, avec tout ce sang partout et ces armes ensanglantées brisées qui jonchaient le sol, ces elfes faisaient presque tâche tellement ils étaient propre. Mais chaque armée avait l'air propre lorsqu'elle arrivait sur un champ de bataille et qu'elle n'avait pas encore combattu.

Hawkins attendit la réponse de l'elfe, curieux de savoir les raisons de sa présence ici.

Une légère brise parcourait le champ de mort faisant virevolter les tissus les feuilles...Mais une odeur morbide se dégageait du carnage qui vient d'être commit et Féanor s'efforca de ne pas montrer ses relents de dégoûts

- Euh... Bonsoir. Qui êtes-vous et que venait vous faire ici ?

Lorsque Annaëlle vint se replacer à quelques pas de son maître en rasant le commandant Impérial , L'elfe prit la parole:
"Je suis un maître de compagnie ,des Lions Blancs de Chrace : La Lune Ensanglantée et je me nomme Féanor ...Anar" Lorsque le mot Anar fut prononcé une soudaine bourrasque s'éleva vers les deux hommes ainsi les longs cheveux de Féanor finement tressés comme à l'accoutume des elfes s’élevèrent dans les airs et retombèrent instantanément sur ses épaules...


* Kurnous nous regarde et il voit que j'ai encore quelques problèmes avec ma "nouvelle" famille*

En effet chacun à porté d'entendre les paroles de l'elfe purent déceler une pointe de mélancolie dans sa voie lorsque ce dernier énonça son nom..

Puis Féanor chercha dans son dos , non sans quelques mouvements des troupes impériales, mais rien de bien méchant sortit de la recherche de l'elfe, en effet il sortit un fin rouleau de soir noir de gais mais il semblait contenir un autre tissu beaucoup plus épais...

Féanor Sortit donc le tissu de sa sombre étreinte pour dérouler un tissu encore plus ténébreux , c'était l'étendard de compagnie qui sur un fond Noir qui semblait venir des abysses se détachait une lune rouge vif stylisée et des Larmes pourpres quand à elle donnèrent l’impression de ruisseler sur le tissu symbolique.

" Voulez vous accepter ceci comme un gage de respect envers votre peuple commandant, ceci découle d'une longue tradition qui se perd d'ailleurs en Ulthuan, elle consiste ;lorsque deux armées se rencontrent ; à échanger leur étendard respectif en signe de profond respect"


James Hawkins prit donc l'étendard elfique avec mille précaution de peur de déclencher un incident diplomatique entre les elfes et son peuple.

"Ne vous en faites pas je présume que vous n'avez pas votre étendard sur vous après ce carnage" dit Féanor en regardant le champ de mort devant lui.
Et effet l'humain ne semblait n'avoir aucun objet sur lui représentant sa patrie...


"Je suis ici car le Roi Phénix a ordonné à ma compagnie de vous protéger non contre cette harde d'home-bêtes" dit le maître lion blanc en regardant la plaie dont Hawkins avait du mal à oublier
"Non je vous protège contre une seconde harde de ces vermines qui devait surgir après la seconde mais il se trouve qu'il n'y à plus rien dans les environs"

En effet Annaêlle n'avait rien remarquée , aucunes ombres dans la forêt , ni aucuns mouvements.


* Ces hommes bêtes doivent être loin maintenant* pensant Féanor en scrutant la sombre forêt


"Je vais donc vous escorter jusqu'à une ville impériale , mon roi ne veut vous perdre sous aucun prétexte ... Ainsi là bas nous aviserons"


Sur ces mots la compagnie de Lion blanc vient se mettre sur une position défensive autour des impériaux, avec les Gardes Fantômes en éclaireur...


" Ah j’oubliais appelé moi Féanor" Dit il en faisait un large sourire à son homologue impériale et d'une voir joviale

Alors que le commandant elfe s'apprêtait à répondre aux questions d'Hawkins, la lionne le frôla, puis elle vint se placer juste derrière l'elfe. James n'en revenait pas de voir un tel animal, les lions n'étaient pas courant voire même introuvable dans l'empire. Le commandant humain avait de plus en plus de mal à tenir debout, sa blessure à l'épaule le faisait souffrir atrocement.
L'elfe prit enfin la parole :

- Je suis un maître de compagnie, des Lions Blancs de Chrace : La Lune Ensanglantée et je me nomme Féanor ...Anar.

Une petite bourrasque de vent souffla sur les deux commandants lorsque Féanor termina de parler. Les cheveux de son homologue elfe se soulevèrent puis retombèrent sur ses épaules. Il avait hésiter au moment de prononcer son nom de famille, peut-être était-il descendants d'une très noble lignée. James l'ignorait...
En tout cas, il devait y avoir une histoire avec sa famille... Mais, après tout, ce n'était pas ses affaires !

Féanor chercha alors quelque chose dans son dos, les derniers soldats vivants d'Hawkins furent alors tendus comme des arcs, anticipant une éventuelle attaque. Mais l'elfe sortit un rouleau de soie noir comme un jais. Le rouleau de soie entourait un tissu très épais et tout aussi noir. James se demandait si il n'allait pas s'évanouir, sa hanche était douloureuse et son épaule était en bouillie !
A première vue, le tissu plus épais ressemblait à une sorte d'étendard, avec brodé dessus l’emblème de la compagnie de Féanor.

- Voulez vous accepter ceci comme un gage de respect envers votre peuple commandant, ceci découle d'une longue tradition qui se perd d'ailleurs en Ulthuan, elle consiste ;lorsque deux armées se rencontrent ; à échanger leur étendard respectif en signe de profond respect.

James ne dit rien, il avait peur que sa voix trahissent à quel point il souffrait. Mais il accepta l'étendard elfe avec un très grand respect. Mais James n'avait rien qui puisse servir de présent représentatif de son armée à offrir à l'elfe. Il se demandait si ce dernier ne serait pas froissé que les humains ne lui offre rien en retour. Hawkins plaça l'étendard sous son bras avec mille précaution. D'après lui, il ne fallait jamais bafoué les traditions des autres races, et encore moins celle des elfes. Pour éviter de le faire tomber par terre et de déclencher un incident diplomatique, James finit par confier l'étendard des elfes au chevalier qui se tenait non loin derrière lui. Ce dernier prit le présent de Féanor avec un profond respect.

Le commandant elfe examina alors le champ de bataille, un charnier serait plus exact comme terme.

- Ne vous en faites pas je présume que vous n'avez pas votre étendard sur vous après ce carnage.

James en fut soulagé, mais il restait une question cruciale à laquelle il fallait répondre.

- Commandant Anar, au risque de paraître répétitif, quels sont les raisons de votre présence ici ? demanda Hawkins.
- Je suis ici car le Roi Phénix a ordonné à ma compagnie de vous protéger non contre cette harde d'homme-bêtes. Non je vous protège contre une seconde harde de ces vermines qui devait surgir après la seconde mais il se trouve qu'il n'y à plus rien dans les environs.

Une bonne nouvelle se dit James. Avoir une autre armée d'hommes-bêtes sur le dos après cette terrible bataille serait, à coup sûr, une bataille perdu d'avance. Même avec la présence des elfes, il suffisait que cette seconde armée soit plus nombreuse pour submerger les forces Humano-Elfiques.
Féanor scruta la sombre forêt. Il voulait sûrement s'assurer que l'ennemi avait fui assez loin. Puis il reprit la parole :

- Je vais donc vous escorter jusqu'à une ville impériale , mon roi ne veut vous perdre sous aucun prétexte ... Ainsi là bas nous aviserons.
- Bien, je vais pas refuser une offre si généreuse.

Après cette brève conversation, les elfes entourèrent les impériaux pour les protéger.

- Ah j’oubliais appelé moi Féanor, dit le commandant elfe.

Un soldat s'occupa de faire un bandage de fortune à James pour éviter que sa plaie à l'épaule ne saigne trop. Une fois en ville, il pourrait avoir des soins plus approprié. Leur prochaine destination était Altdorf, la capitale de l'Empire.
Avant de partir rejoindre la capitale, James observa une dernière fois le champ de bataille. Les soldats impériaux s'occupait de fournir à leurs morts une sépulture décente. En revanche, ils laissèrent pourrir les cadavres des hommes-bêtes !
James s'agenouilla à côté du cadavre du lieutenant Vilkus. Une lance se trouvait à côté de sa dépouille, il y avait accroché dessus un bout de tissu. James le détacha de l'arme et l'examina. Le tissu était imbibé de sang et une balle d'arquebuse l'avait troué en dessous de l'aigle royal représenter sur le bout de tissu. Deux épées croisées était derrière l'aigle royal.
C'était le dernier étendard encore intact de l'armée d'Hawkins. Le commandant humain le plia après l'avoir un peu nettoyé du sang, mais il en restait encore beaucoup.

James se dirigea vers Féanor et lui tendit l'étendard.

- Féanor, veuillez accepter le dernier étendard de mon armée. Si le sang vous dégoute, pensez que ce sang nous rappelle qu'il y a toujours un prix à payer pour faire triompher la justice et le bien.

Derrière lui, les soldats impériaux survivants de la bataille avait fini d'enterrer les morts. Lorsque Féanor prendrait l'étendard, les humains et les elfes pourraient se mettre en route vers Altdorf.

Le catyen ne répondu pas et Tikaq'tu en conclu qu'il était d'accord. Ils partirent donc en direction du coups de canon. Il traversèrent une partie de la forêt avant de déboucher sur une plaine. Celle-ci était jonchée de cadavre d'hommes-bêtes pourrissant et de quelques sépultures, sans doutes humaines. Au loin, Tiklaq'tu aperçu deux armée rassemblée ensemble. Il donna l'ordre de faire sonner le clairon pour signaler l'approche de l'alliance.

Les armée, en entendant le son du clairon, durent certainement s'attendre à une attaque d'hommes-bêtes car ils se retournèrent, armes à la main. Tiklaq'tu et Chen Liu partirent avec une faible escorte en avant pour discuter avec les généraux humain pendant que le reste de leurs armée approchait.

En approchant, Tiklaq'tu distingua des hauts elfes et se demanda ce qu'il pouvait faire ici, si loin d'Ulthuan. Les humain, quand à eux, avaient certainement combattu les hommes-bêtes étalé sur le sol car ils étaient peu nombreux et dans un salle état. Tiklaq'tu s'approcha jusqu'à ce qu'il arrive à portée de voix et descendit du cheval qu'il partageait avec Chien Liu. Tiklaq'tu observa le généal humain et le général elfe.

L'humain avait une blessure assez grave à l'épaule et ne tenait presque plus debout. Il n'avait pas non plus d'épée, certainement cassée au cour de la bataille, et portai uniquement un bouclier.

L'elfe, lui, était son exact opposé. Il était resplendissant dans son armure propre et ses deux haches faisaient forte impression. Ils avait , de plus, un lion de Chrace à ses cotés qui grognait depuis l'arrivée de Tiklaq'tu. Cet elfe était certainement un lion blanc, la garde d'élite du roi Phénix.

Tiklaq'tu dit:

Bonjour humain et elfe! Je me nomme Tiklaq'tu et voici Chien Liu Laozhi. Nous avons formé une alliance et sommes ici pour combattre les hommes-bêtes ou tout autre ennemis qui pointera le bout de son sale nez. Je suis un tupac skink. Un homme-lézards venu de Lustrie et mon compatriote viens du lointaine empire de Catay. Mais assez de blabla. Je ne vous ai pas laissez le temps de vous présenter. Qui êtes-vous?

Féanor remarqua que Hawkins souffrait énormément de ses blessures, mais il alla s'agenouiller vers un humain mort non loin d'une lance, c'était probablement un impériale très respectable et honorable mais Le Maître de Compagnie se retourna pour superviser l'agencement de ses troupes.De maintes reformations furent mis en place dans les troupes elfiques Plaçant Chacunes des unités à un endroit stratégique...


Soudain Hawkins arriva en souffrant de son épaule probablement à cause de la bataille contre les Hommes-Bêtes qui dût être rude.Il tenait à la main Un fagnon et il lui tendit en disant:
- Féanor, veuillez accepter le dernier étendard de mon armée. Si le sang vous dégoute, pensez que ce sang nous rappelle qu'il y a toujours un prix à payer pour faire triompher la justice et le bien.

Féanor ne connaissait que trop bien le sang et cela ne le dérangea pas de le voir sur le bout de tissu qui avait vécu mais qui avait une longue histoire...
L'aigle Impériale stylisée était représentait devant deux épées croisaient, le sang lui ajoutait une connotation macabre mais le Maîtres de compagnie fut heureux de recevoir un étendard impérial.
-Merci James , si je peux me permettre? Cela me fait plaisir de vous voir respecter nos traditions Millénaires , merci.

Féanor énonça cette phrase avec un sincère respect et grâce à à ceci l'elfe pourrait donner sa vie pour leur amitié.Aujourd'hui La Nation elfe et Humaine se rapprochaient encore une fois...


Soudain Les Gardes Fantômes Coururent vers le Anar et son Homologue Humain.
-Seigneur des armées marchent vers nous , nous n'avons pas put les voir mais elle seront là d'un instant à l'autre ...
-Elfes Tenaient vous prêts , Des Armées arrivent dit L’elfe d'une voie charismatique

Hawkins cria difficilement des ordres à ses hommes mais Féanor n'écouta pas , car il préparaient ses doubles haches en vue des combats...

Un clairon similaire à celui des elfes se fit entendre, Et Féanor rangea ses armes instantanément il reconnut un homme et des hommes...Lézards?
Oui il y avait des livres traitant d'eux dans les bibliothèque de Saphery, C'était un peuple pacifique aidant souvent l'ordre ...


Une Mince escorte avança avec en son centre un homme fortement armurée et un petit homme lézard sur le même cheval...
L'escorte s'arrêta à quelques pas des armées Humano-Elfique..
Féanor entendit une faible phrase émanant de Hawkins
-Je crois que je n'ai plus d'étendard et vous non plus Féanor?
Cela fit sourire L'elfe
- En Effet je n'ai plus rien ...


Soudain l'homme lézard descendit du cheval et dit:

Bonjour humain et elfe! Je me nomme Tiklaq'tu et voici Chien Liu Laozhi. Nous avons formé une alliance et sommes ici pour combattre les hommes-bêtes ou tout autre ennemis qui pointera le bout de son sale nez. Je suis un tupac skink. Un homme-lézards venu de Lustrie et mon compatriote viens du lointaine empire de Catay. Mais assez de blabla. Je ne vous ai pas laissez le temps de vous présenter. Qui êtes-vous?


-Je suis Féanor Anar , Maîtres Lions Blancs de Chrace...Et voici le commandant James Hawkins que faîtes vous loin de votre Lustrie Homme lézard?


Entre temps Annaëlle vint se placer vers Hawkins et se coucha ...

Féanor se retourna rapidement vers Hawkins
-Asseyez vous sur elle , elle ne vous fera rien et cela vous soulagera

Voila la première fois que je rencontrais des elfes. J'en étais encore sous le choc. Leurs armures resplendissantes et leurs lames brillant comme l'argent m’éblouissait presque. Notre interlocuteur portait une imposante hache d'un métal des plus splendide et nous regardait d'un regard que je n'aurais jamais cru aussi intimidant. Non loin de lui, un homme blessé assis par terre nous regardait également, curieux de savoir aussi qui nous étions. Je me dit qu'il devait surement être un général de l'empire à en jugé son uniforme, et d'après ces blessures, ça devait être surement lui qui avait déclenché un coup de canon, ou du moins l'un de ses hommes en tout cas...

Malgré ma nervosité d'être devant un représentant d'un des peuples ancestraux, je tachai de me tenir le plus droit possible sur mon cheval. Je l'entendis se présenter lui et l'homme blessé, puis demander à mon compagnon pourquoi était il si loin de chez lui. Je pensa immédiatement à ma terre natale. Le pays où j'avais passé toute ma vie était désormais à l'autre bout du monde quasiment, et au fond de moi, je savais que je ne retournerais pas là-bas... Malgré cette vague de nostalgie qui m'envahit, je retrouva mes esprits et fit mine de penser à autre chose en laissant mon amis lézard parler.

J'en avais de la chance quand même. Je venais au Vieux Monde dans l'idée de voir d'autres civilisations humaines, mais je tombait sur des hommes-lézards puis des hauts elfes, les deux premiers peuples à avoir foulés le sol de ce monde d'après les érudits de mon pays...

James accepta l'offre de son tout nouvel ami elfe, Féanor, en s'asseyant sur sa lionne qui s'était couché derrière lui. Le jeune commandant était abasourdi ! Si la bataille contre les hommes-bêtes s'était déroulé quelques heures plus tard, la fin de la bataille aurait pu être tout autre ! Au lieu d'une victoire dans la douleur, ç'aurait pu être une victoire écrasante sans pertes notables.

Les deux commandants des deux armées alliées qui venaient de rejoindre Hawkins et les elfes étaient très différents l'un de l'autre. Un des commandants étaient sans aucun doute un homme-lézard, l'autre devait être un catyen mais James n'en avait aucune certitude. Les présentations s'éternisaient... Il n'avait pas l'éternité, d'autre hommes-bêtes pouvaient traîner dans les parages.

James se leva interrompant les présentations des commandants :

- Bon, je suis James Hawkins, commandant des troupes impériales de cette région. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais l'Empire vient de livrer une bataille très importante et a payé un lourd tribut en vie pour obtenir la victoire ! Je suis moi-même blessé et mes troupes sont décimées. Je dois me rendre à Altdorf, la capitale de l'Empire pour récupérer des renforts et renforcer mes effectifs. Je n'ai pas toute l'éternité.

Le soleil était déjà presque couché et la nuit ne tarderait pas à envahir la plaine et la forêt. Le voyage de nuit serait possible, car la route était sécurisée par des patrouilles permanentes de l'armée impériale. Si James et ses hommes, et les elfes, et éventuellement les deux autres armées, marchaient toute la nuit vers leur destination, ils pourraient l'atteindre à la mi-journée de demain. Mais, d'après les ordres en vigueur dans la capitale impériale, aucune autre force armée que celle de l'Empire n'était toléré dans les murs de la ville. Peut-être que les elfes pourraient rentrés, mais ce n'était pas sûr du tout. Les armées de l'homme-lézard, du catyen et de l'elfe devraient camper à l'extérieur de la ville, à au moins deux lieues des remparts.

- J'aimerais connaître les raisons de vos présences ici ? Je connais déjà celles du Commandant Anar. Si jamais, votre cause est juste et qu'aucun ordre ne me l'interdit, je pourrais peut-être vous aider. Soyez franc et rapide.

James avait conscience d'être un peu froid avec ses interlocuteurs, mais il n'était plus d'humeur à patienter. Hawkins voulait rentrer à Altdorf pour annoncer sa victoire et rassurer les citoyens de l'Empire. Cela gonflerait le moral des autres armées impériales qui recevraient la nouvelle.
Le froid avait repris ses droits avec la nuit qui était tombé durant le petit discours de James. La nuit serait très fraiche !

-J'aimerais connaître les raisons de vos présences ici ? Je connais déjà celles du Commandant Anar. Si jamais, votre cause est juste et qu'aucun ordre ne me l'interdit, je pourrais peut-être vous aider. Soyez franc et rapide.

Tiklaq'tu regarda l'humain. Il avait oublié son états et le fait que d'autres hommes bêtes pouvait venir, trop heureux de discuter avec l'elfe. Qui plus est, le soir allais se coucher et ils devaient impérativement ce mettre en route. Le catyen semblait lui aussi mal à l'aise, certainement à cause de la présence de tant de nouvelles races pour lui. Tiklaq'tu dit au général de l'empire:

-Je suis venu dans le Vieu monde et ait traversé les continents pour aidés l'empire et le Vieux monde en général à repousser les attaques des serviteurs du chaos car une ère de terreur et de destruction s'annonce. Mais désormais, Que fait on?

-Je suis venu dans le Vieu monde et ait traversé les continents pour aidés l'empire et le Vieux monde en général à repousser les attaques des serviteurs du chaos car une ère de terreur et de destruction s'annonce. Mais désormais, Que fait on?


-Nous devons partir d'ici le plus vite possible, des ennemis peuvent rôder ici encore dit Féanor en scrutant le ciel
La température chuta doucement et la nuit vient à tomber la visibilité commença à chuter et des torches rougeâtres s'allumèrent ici et là elles dansaient au coeur de la nuit sombre et ténébreuse , les nouveaux alliés devaient faire vite pour rejoindre Altdorf.Mais Hawkins souffrait et il allait sûrement ralentir le cortège vers la capitale impériale.

Soudain Le maîtres de compagnie apella sa lionne qui put se libérer et rejoint vite son maître en même temps que Hawkins se leva , il l'attela alors à l'un des chars non sans quelques gémissement de la bête qui détestait tracter un char mais le faisait quand même et le lion blanc vérifia la stabilité du char à lion...
Après les dernier ajustemment , et sous le regard interloqués des généraux Féanor appela Hawkins d'une voie qui empêchait toute réponse négative:

-Je vous prie Commandant de rejoindre mon char personnel , ainsi vous allez moins souffrir et nous pourrons aller plus vite .Acceptez vous?
-Qu'allez vous faire?
-Eh Bien je vais marcher !

Le commandant impérial vint donc vers le char avec un visage comportant des sentiments mais Féanor ne sus les voir, et se coucha dans celui ci sous le poids de la douleur et de la souffrance .


Ainsi les quatre Armées commencèrent à prendre la route sous le reflet blanc de Mannslieb et de sa soeur qui commençait à se faire voir...
Ainsi les quatre Généraux se rejoignirent pour discuter de la marche à suivre ...

Les troupes d'Alcahizzar n'ont pas chaumées, et sont parvenus en moins de trois jours jusqu'à la principauté d'Altorf. Les quelques villages et hameaux se dressant sur leur route furent promptement rasés, et les contingents envoyés contre eux exterminés. Le roi des tombes avait une telle soif de sang et de destruction que cette dernière se répercutait sur ses soldats, qui abattaient à une vitesse fulgurante les rangs ennemis. Le défunt roi contourna Nuln, car sa véritable cible était Altorf. Il comptait bien mettre à genoux l'humanité, pour de bon cette fois, et personne ne devait l'en empêcher. Une fois cette tache accompli, les légions entières du Nehekhara viendraient le rejoindre, et plus personne ne pourrait l'arrêter dans sa conquête du Vieux Monde.

A présent, les murailles d'Altorf s'élevaient aux dessus des frondaisons de la forêt, telle des gardiens d'une civilisation aujourd'hui menacée. Cela était véridique, car l'Empire avait fort à faire avec les envahisseurs: les peaux-vertes et les hommes-bêtes cachés dans les forêts du Vieux Monde, les morts-vivants de Sylvanie venant de l'est, sans compter les raids barbares venus de Norsca et des Désolations Nordiques plus au nord, ainsi que les migrations d'ogres venant de l’extrême orient. Les impériaux pouvaient aussi rajouter les souverains des tombes à leurs listes d'ennemis à présent.
Le roi regarda en silence la cité, semblant tranquille et sereine, se demandant comment une ville au milieu de tant d'ennemis et de danger pouvait paraître si prospère. Elle devait être aussi bien défendu que la cité mortuaire de Khemri, donc quasiment imprenable. Mais cela ne faisait rien, car le seigneur des morts ne comptait pas faire un siège, ses troupes n'étaient pas assez nombreuses. Il appela d'un geste de sa main un nécrotecte chargé de coordonner l'avancée des troupes. Ce dernier, après s'être incliné devant son souverain, demanda d'un voie résonnante:
"Que voulez vous puissant seigneur ?
-Que les troupes se place en ordre de bataille. répondit le non-mort, Nous allons affronter la garnison d'Altorf sous les frondaisons de ces bois. Cela nous confieras un couvert lourd contre leur machines de guerre postées sur les remparts.
-Et si nous sommes attaqués de manière imprévue, comme par des peaux-vertes ou des hommes-bêtes ? reprit le serviteur.
-Eh bien nous les tuerons, comme tous ceux qui veulent se mesurer à nous. Quand à la cité, je sais comment faire pour pouvoir entrer à l'intérieur...
-Que votre volonté soit faite majesté.

Tandis que le nécrotecte s'éloignait vers les troupes morts-vivantes, Alcahizzar toucha alors le médaillon pendant à son cou, celui qu'il avait trouvé dans le repaire des skavens, au milieu des Montagnes Grises. Cet objet allait réellement pouvoir lui servir cette fois. Alors qu'il sortait de ses pensées, les phalanges étaient prêtes à reprendre leur marche. Ils s’exécutèrent donc et repartirent vers la capitale de l'Empire, prêts à répandre la volonté de leur sanguinaire maître...

Jakob et son armée marchait depuis deux jours en direction de la capitale. le prêtre de Sigmar avait ordonné la marche forcé dès qu'il avait reçut la missive de l'Empereur. Des morts-vivants approchaient de la capitale et il fallait les arrêter. L'armée de l'empire n'était pas assez nombreuse mais des renforts avaient été envoyé. Désormais, l'armée avait grossis et était prête au combats. Mais, malgré les renforts, ils devraient tout de même se battra à un contre trois. En plus, les morts-vivants ne sont pas facile à affronter car ils peuvent semer la peur dans les rang d'une armée qui tournera les talons avant le début des hostilité. Jakob allait devoir remonter le moral de ses troupes a fond pour espéré les vaincre. Il espérait aussi recevoir l'aide de la garnison d'Aldtorf.

Lui et son armée approchait de la capitale et l’apercevrait bientôt. Ils n'avaient subit aucune attaque durant le voyage, certainement à cause de leurs nombres. Jakob pria Sigmar plusieurs fois de lui accorder la victoire sur les forces du mal sinon, la capitale serait très certainement détruite. L'armée arriva en vue des fortifications de la ville. Jakob fut heureux car il craignait que la ville soit tombée. Mais la joie fut de courte durée. Déjà, les soldats étaient mal à l'aise à cause des forces maléfique qui réanimaient les morts. Jakob le vit. Il stoppa l'armée, se mit bien en vue de tout les soldats, et dit:

-Soldats, hommes de l'empire! Aujourd'hui nous nous battrons contre ces être morts depuis longtemps et revenu à la vie. Ils sont terrifiants mais nous ne pouvons pas faillir! Aujourd'hui, nous écraserons cette menace, comme nous avons toujours écraser nos ennemis depuis l'avènement de Sigmar. Votre foi doit être infaillible et votre moral indestructible! Nous nous battrons, non pour la gloire, mais pour nos amis et nos familles qui périront si nous ne les arrêtons pas! Aujourd'hui, nous nous battons pour sauvez ce qui nous est chère. Aujourd'hui, nous renverrons ces morts dans leurs tombes! Aujourd'hui, NOUS NOUS BATTONS POUR L'EMPIRE!!!!!

Tous les hommes hurlèrent leurs haine contre les ennemis de l'Empire et l'armée chercha ses ennemis. La garnison d'Aldtorf avait vu l'armée et Jakob espéra qu'ils enverraient des renforts pour l'aider.

La toute première mission de Sundrim était affreusement ennuyeuse , il devait protéger coûte que coûte une cargaison de matières premières pour les armuriers d'Altdorf.Soit pour une première mission sortirent de Zhufbar était glorieux mais au final voguait sur le grand océan grâce aux navires nains étaient d'une facilité déconcertante.Le blindage et l'ingéniosité typique des nains faisait sue d'une part ils étaient que très rarement attaqués et d'autre part en cas d'attaque le potentiel de feu des navires était ahurissant.
Combiné à cela , Sundrim devait se déplacer avec toute son armée , et comme tout ingénieur qui se respecte a énormément de machines de guerres et donc une véritable armada s'élançait vers Marienburg : le port impérial.

Bref aucune chance de faillir , la seul vraie difficulté résidait dans le fait de rejoindre les forêt remplit d'hommes-bêtes de l'Empire.

Comme prévu le voyage maritime fut serein et sans encombres.Le débarcadère de Marienburg n'était pas prévu pour les machines naines si bien que l'arrivée fut laborieuse , mais au bout de deux heures tout le monde était fin prêt à rejoindre la capital impériale.La route vers Altdorf était lente mais au moins tellement de machines de guerres faisaient fuir même le plus valeureux des hommes de l'empire, ainsi après deux bonnes journées de marche, l'armée naine put reconnaître à l'aube les lointaines murailles de la ville.
Encore 10 heures et les nains seront devant les portes de la ville.
La matinée était bien avancée lorsque l’avant garde naine constituée des brisefers reconnut une armée impériale au loin.Différents cris qui semblaient à la fois de la haine de la peur et de l'espoir.L'ost de Zhufbar augmenta l'allure qui était molle , et Sundrim se plaça devant l'armée pour savoir les raisons des cris des impériaux.

Seulement Sundrim traversa l'armée impériale , et d'ailleurs des impériaux perplexes de voir sa présence ici se retournèrent et virent leurs égaux nains.L'élu du Serment-Du-Rocher tenta de reconnaître un membre de l'état major impérial avec sa maîgre connaissance des grades de l'empire mais rien.
Alors il reconnut un prêtre de leur culte et alla le voir:
"Un problème?"

Jakob était debout devants une table sous sa tente de voyage. Ces hommes et lui campaient à quelques kilomètres de la capitale et Jakob avait reçus deux émissaire de l'empereur pour être au courant de la situation. Celle-ci était dramatique.

-Si je résume, les orcs et les gobelin entourent la capitale et l'attaque constamment. Une gigantesque armée de morts vivants approche par le sud et, pour couronner le tout, une deuxième armée de mort arrive par l'est. MAIS ILS SE SONT DONNE RENDEZ-VOUS OU QUOI???

-Calmez-vous. La situation est grave mais pas désespérée. Des renforts arrivent de tout l'empire et Karl Franz va probablement tenter une sortie pour disperser les orcs. Ce n'est pas aujourd'hui que la capitale tombera. Votre mission est d'arrêté les morts-vivants arrivant du sud.

-Facile à dire! Ils sont deux fois plus nombreux et je ressent la présence d'un nécromant. Je ne suis pas un pleutre mais c'est impossible de les repousser sans aide. Aide que vous ne pouvez me fournir.

Alors que l'émissaire allait rétorqué, une agitation gagna le camps. Des personnes étaient entrée dans le camps et les soldats allaient tous voir. Ils criait et s’appelaient. Jakob et les deux émissaires sortirent de la tente pour aller voir ce qui se passait. Jakob vit avec étonnement une force armée naine débarqué dans le camps. Presque une dizaine de machines de guerre étaient tiré par des poney et des guerriers barbus en armure lourde progressait à l'intérieur du camps. Celui qui semblait être le chef s'approcha et se planta devant Jakob.

-Un problème?

Le nain, comme tout ceux de sa race, arrivait à la poitrine du prêtre guerrier mais il n'en fut nullement gêné. Il portait une arbalète finement sculptée dans son dos. Celle-ci portait diverse runes et semblait très rare. Il portait aussi un manteau noir sur les épaules et une capuches. Sa longue barbe rousse pendait sur son ventre et toucherait probablement le sol si plusieurs tresses ne s’entremêlait pas et la raccourcissait. Jakob savait combien la barbe était importante pour un nain et il trouva celle de son interlocuteur fort belle. Le nain avait également tout un attirail de bombe et de gadget suspendu en bandoulière en travers de sa poitrine.

Jakob le fit entrer dans sa tente. Il reourna derrière son bureau et croisa les bras. Les plaques de son armure cliquetèrent une peu.

-Je me nomme Jakob et je suis un prêtre guerrier de Sigmar. La capitale de l'empire est assiégée par des orcs mais le soucis principale est une grande force de morts-vivants qui approche par le sud. Je suis censé l'arrêter mais je n'ai pas assez de soldats. Je ne sais pas pourquoi vous êtes là mais j'implore votre aide pour repousser ces morts-vivants. Au nom des anciennes alliances qui unissent nos deux peuples, je requiert votre aide.

Le nain suivit l'humain encore muet , traversant le camp aux pas de courses Sundrim avait du mal à suivre son homologue à cause de ses petites jambes qui gesticulaient rapidement.Ils arrivèrent devant une tente haute de taille et qui était vraisemblablement très large vue de l'extérieur , les couleurs fortes de l'empire étaient présente comme le rouge ou bien le jaune.
Le nain passa sous la tente par un pli dans celle ci, en effet elle était très haute on pouvait aisément passer à 5 nains de hauteur, puis l'ingéneur examine son interlocuteur , une armure de maille fine mais à l'air résistante , une jupe guerrière avec à la ceinture un livre avec sur sa tranche le symbole d'un marteau : Ghal Maraz , le fendeur de crânes , tout forgeron nain serait heureux d'avoir créé une arme si parfaite qui scella l'alliance impérissable entre les deux peuples.
Finalement l'impérial prit la parole d'une vois forte et charismatique un grand meneur pensa alors Sundrim .

-Je me nomme Jakob et je suis un prêtre guerrier de Sigmar. La capitale de l'empire est assiégée par des orcs mais le soucis principale est une grande force de morts-vivants qui approche par le sud. Je suis censé l'arrêter mais je n'ai pas assez de soldats. Je ne sais pas pourquoi vous êtes là mais j'implore votre aide pour repousser ces morts-vivants. Au nom des anciennes alliances qui unissent nos deux peuples, je requiert votre aide.


La mission première de Sundrim était d'escorter une cargaison jusqu'à la capitale impériale et ses hautes tours reflétant l'éclat miroitant du soleil.Une chose le poussa à bien considérer la question :l'honneur!
L'honneur était tout pour chaque être vivant digne de ce nom , l'alliance éternelle entre les deux peuples ne pouvait céder , sinon le royaume nain karaz-à-karak , Karak-Kdrin ou bien même Zhufbar auraient déjà ployés sous le nombre des vermines peaux vertes.Et puis cela serait parfait pour démontrer la force de l'élu de l'arbalète pour son throng , une démonstration de force lui éviterait des missions banales comme une escorte.Oui il allait accepter mais sous une condition , un serment entre les deux être vivant.

"Par l'honneur , et l'honneur du royaume nain nous acceptons de vous aider à repousser les envahisseurs .Notre alliance forgée dans l'or et l'acier ne pourra céder en ce jour , les nains répondent à votre appel de détresse , les nains vont se battre comme si c'était eux qui étaient eux attaqués.La fureur de Grungni nous guident , que le fendeur de crânes en soit témoins ! Nous aiderons l'empire des hommes comme ils nous aidèrent contre les peaux vertes jadis !Pour Zhufbar!"

Sur ces paroles il leva le point en l'air , et s'agenouilla ensuite devant son homologue en faisant une prière muette à l'adresse de ses dieux.Se relevant il exposa son plan à son , désormais, frère de batailles .
D'une voix forte et puissante Sundrim expliqua.
"Très bien actuellement j'ai des machines de guerre à ma disposition n'ayait crainte les meilleurs ingénieur de Zhufbar ont travaillés durement sur elles et leur précision est chirurgicale.Je vais assigner mes guerriers à leur défense , à la vitesse des événements j'ai peur de ne pas pouvoir prendre place sur vos remparts"

Il regarda un instant les murailles de la ville , tellement grandes que les sentienelles avaient la taille de moustique.Fait de pierres toujours très bien entretenuent l'édifice semblait inébranlable , la couleur saumon quoique ternis au pied du mur faisait rejaillirent la lumière sur l'herbe verte devant.

"Je vais ordonner à mes meilleurs guerriers de vous soutenir au coeur de la mêlée, mais faite attention ils ne reculeront jamais et ne connaissent pas la retraites , cela est synonyme de déshonneur chez nous , ils se battront jusqu'à la mort tout comme nous tous , nous vaincrons ou nous mourront ..."

-Je vais ordonner à mes meilleurs guerriers de vous soutenir au coeur de la mêlée, mais faite attention ils ne reculeront jamais et ne connaissent pas la retraites , cela est synonyme de déshonneur chez nous , ils se battront jusqu'à la mort tout comme nous tous , nous vaincrons ou nous mourront ..."

-Je comprend parfaitement et mes soldats aussi se battrons jusqu'à la mort. Si la capitale tombe, l'empire sera certainement anéanti en peut de temps.

Jakob désigna la carte qui représentait les environs d'Altdorf étalée sur le bureau.

-Voici la stratégie, Nous marcherons au sud à la rencontre de l'armée morts-vivante pour éviter de subir une attaque de flanc ou de dos des orcs. Mes hommes seront au centre et sur le flanc gauche tandis que vos guerriers tiendront le flanc droit. Il y as des colline à cette endroit ci et vous pourrez poster vos machines dessus. Avez-vous une objection? si non, nous allons nous mettre en route tout de suite pour intercepter nos ennemis.

La horde noire continua sa progression inlassable à travers les forêts, les marais et les bourgades. Le vampire en vint même à se demander comment l'Empire parvenait à conserver autant de villages malgré les peaux vertes, les hommes bêtes, les bandits et les bêtes sauvages. Tout à ses pensées, il finit de vider de son sang une pauvre femme dont le mari hurlait à la mort alors que les goules le dévoraient vivant.

Pour se distraire, il avait ordonné à ses serviteurs de rassembler les jeunes du village. Une fois celui-ci nettoyé de toute autre trace de vie, ils furent rassemblés à la lisière de la forêt par de terrifiants squelettes en armure aux orbites désespérément vides et le roi goule s'adressa à eux.

"Courez mes petits, courez pour vos vie, cachez vous ou bon vous semblera, ou mourrez immédiatement !"

A ces mots, les pauvres enfants s'enfuirent dans les bois. Affichant un petit sourire sadique, Dracul rejoignit ses nouveaux alliés. Drakhold van Hurlf était un héros de l'ancien temps ramené à la vie par une puissante magie nécromantique et libéré par la mort de son maître. Il arpentait le vieux monde à la tête d'un ost de cavalerie mort-vivant composé de chevaliers vampiriques et de squelettes défunts. Ils avaient croisés la route du vampire damné et s'étaient joint à lui en quête de carnage et de sang.

La distraction que leur offrait leur hôte aujourd'hui plût à Drakhold qui malgré son statut de revenant, avait conservé une partie de son intellect d'autrefois. Une chasse à court des plus cruel avec l'homme pour gibier. Dracul avait insisté pour se joindre à eux à pied, il n'avait point besoin de monture pour se délecter de cette chasse, ainsi se contenta t'il de ne se faire accompagner que par ses loups funeste pour mieux terrifier ses proies de leurs hurlements.

Pourtant, alors qu'il allait donner le signal du départ, il ressentit un souffle glacial dans son dos. Il n'eut pas besoin de se retourner pour deviner qu'Emanuelle désirait se joindre à son mari pour la partie de chasse qui s'annonçait. Tristement, il se remémora comment elle lui avait été arrachée après que ce maudit prêtre de Sigmar ait enchanté la grille à l'entrée de la grotte où ils se terraient pour les y enfermer à jamais. Elle était toujours à l'extérieur, combattant avec fougue les répugnateurs. Mais quand elle vit son amant, prisonnier des ténèbres, elle paniqua et se précipita sur la grille maudite pour lui venir en aide. Hélas, alors qu'elle jetait un dernier regard profond à son époux, le prêtre la frappa à la tête et elle s'écroula. Le maudit lui promit de l'autre côté de la sainte barrière, qu'elle serait purifié par la juste douleur des bourreaux de Sigmar avant de l'abandonner à la ténébreuse existence qui allait faire de lu ile monstre qu'il était aujourd'hui.

Ses yeux exorbités, sa langue marquée au fer rouge, ses cheveux arrachés un à un, les doigts sectionnés, ses canines brisées au marteau. Elle mourut dans la pire des souffrances et son âme ne connut jamais le repos. Quand son cher et tendre parvint à s'échapper de sa prison maudite, elle le sentit et se mit à s recherche sous la forme d'une banshee, d'un esprit en peine. Mentalement, il la remercia de se joindre à lui et donna le signal, que la traque commence.

Les cavaliers se lancèrent aussitôt dans les sous bois, suivi de près par le compte Dracul, sa femme fantomatique et sa meute de molosses zombies. Chaque jours, ils progressaient un peu plus dans les terres impériales, bientôt l'ost de la non-via atteindrait Altdorf où il savait nombres de forces divergents rassemblées dont une autre de morts-vivants. La bataille promettait d'être intéressante ...