Col du feu noir

Voila des semaines que nous étions dans les terres arides à marcher sans fin. Mon armée et moi ne faisions que suivre le gros des troupes ogre. Je me souvins alors de la rencontre avec la tribu des ripe-montagne. Un grand cri avait émané du chef de la tribu quant krexor lui avait apporté la nouvelle de l’alliance. En fait ce cri s'apparenté apparemment à un cri de joie, personnellement j’aurais certainement dégainé mon arme après que l’interlocuteur et lâché son rugissement. Heureusement que krexor s’occuper des négociations à ma place. Nous étions donc arrivé au col du feu noir, enfin ces terres hostile aller disparaitre et nous allions entrer dans un lieu un peut plus verdoyant que le précédent.

Pendant la nuit d’avant une longue discutions avait eu lieu avec les chefs des deux tribus ogre pour savoir ou aller et dans qu’elle but. J’avais bien émis l’idée qu’il me fallait absolument des homme-bêtes pour mes études des races du vieux monde, mais les ogres ne voulaient pas lâcher prise. Ce qu’ils voulaient n’était autre que des pillages en règle et des combat, ils furent même à deux doigts d’attaquer mon ost de guerre tel étaient leur fureur. Une bataille en sous nombre contre c’est machine de guerre n’étaient pas envisageable et perdre la frêle alliance n’avait pas fait parti de mes plan. Donc nous décidâmes à l’unanimité que les ogres passeraient en tête de l’alliance pour nous guider selon leur bon vouloir.

J’avais justement demandé pendant cette assemblé ou ils compté aller. Galrok c’était alors lever en criant comme un dément « L’EMPIRE, on va tous cramé » et son homologue ogre c’était a son tour lever pour crier tous aussi fort « l’EMPIRE y va bruler, on va faire tous plein de morts ». A ce moment commença une série de coups de point dans l’épaule entre les deux ogres. Certainement que ce rituel voulait montrer le consentement d’une bonne stratégie, encore et t’il que les coups de point en question aurait certainement tué un buffle d’eau rien que par leur puissance. Je laissais donc mes nouveau « amis » s’amuser a se pulvériser l’épaule tous en criant « L’EMPIRE », « L’EMPIRE »....

Au cour de cette soirée j’avais assimilé plusieurs chose. En premier lieu que les ogres étaient vraiment limiter quant il s’agissait de réfléchir et surtout que ma destination étais l’empire.
Nous partîmes donc tous droit au travers du col, qui c’est se qui nous y attendraient de l’autre coté.

Après une discussion des plus réfléchi, les deux ogres arrivèrent à la décision non surprenante d'aller saccager l'Empire au nord. Durant cette discussion, Yoshihiro Shimazu, le leader de nippons avait préféré s'éclipser, laissant les ogres décider ne leur prochaine destination. Maintenant avec une alliance d'ogres avec lui, il valait pour lui et ses hommes de se faire discret. Ces colosses leur offraient cependant une très bonne protection, car tout être possédant un semblant d’intelligence réfléchira à deux fois avant de s'en prendre à une horde aussi nombreuse.

A présent, l'alliance traversai le col du feu noir depuis plusieurs jours, et arrivait maintenant en vue des terres de l'Empire, dont les forêts s'étendaient à l'horizon. Galrok et son confrère se regardèrent et poussèrent des hurlements de joie, accompagnés par leurs autres congénères. Le hatamoto restèrent cependant des plus calme, ne préférant pas mêler à ces brutes s'amusant à ce frapper sur l'épaule ou se cogner la bedaine. Néanmoins, le tyran des tripes-montagnes vint vers le chef des humains, et lui fila une "très légère" tape dans le dos, coupant presque le souffle de l'homme. Les guerriers nippons mirent tous leurs mains sur leurs katana rangés dans leurs fourreau, prêt à dégainer au moindre geste suspect. Mais l'ogre n'en eu cure et se retourna vers Yoshihiro:
"Tu vois l'humain, on est arrivé!! On va donc pouvoir piller et manger plein d'hommes!!! Mais bon, vu que t'es un sympa, on a décider qu'on irait chasser l'homme-bête aussi, pour te faire plaisir. T'es content j'espère ??"

L'humain se contenta de hocher la tête avec un sourire approbateur, ce qui satisfit l'ogre, qui jeta un dernier coup d’œil vers les hommes prêt à sortir leur arme avant de retourner vers ses compagnons en riant bruyamment. Le hatamoto fit signe à ces hommes de ranger leurs armes à moitié sortie, voulant éviter de provoquer l’énervement des ogres.
"Seigneur? Sauf votre respect, pensez vous que c'était une réelle bonne idée de nous allier avec ces monstres?? demanda l'un des samouraïs.
-Je ne sais pas trop. Mais après tout, ils ne sont pas dangereux tant qu'on ne les contraries pas. Pour eux, la guerre n'est qu'une occupation entre les repas et tous ce qui les intéressent c'est la nourriture et la bagarre. Mais au moins, ils nous offrent une protection de premier choix.

Sur ces mots, l'armée reprit donc sa route vers les terres de l'Empire, les hommes gardant toutefois un œil sur leurs alliés ventripotents, au cas où ces derniers aurait une petite faim et se retourne vers eux, un sourire carnassier sur ces lèvres...

En encaissant une nouvelle bourade sur l'épaule, Krexor nagait en plein bonheur.
Il se trouvait avec un congénaire qui partagait ses envie béstiales, et les deux forces réunis formait un consequent ost de guerre prompt à tout macher et éxterminer.

L'homme apportait sa pière à l'édifice, d'une part par ses troupes mais surtout, par son ses de la tactique. Mot qui ne voulait cependant strictement rien dire pour les ogres.

Les deux bandes de monstres s'étaient de suite adopté, et malgré des bastonnades et autres jeux de forces, composaient une horde jovial, gueulant et s'interpellant sans cesse.

Ripostant d'un direct du droit sur l'épaule de son homologue Tyran devant les yeux désésperer du Hatamoto, Krexor se dit que La Gueule était avec eux, et se rejouit des massacres à venir...

Deux jours de marche quasi sans interruption, hormis quelques heures pour nous reposer. C'est au bout de deux jours de voyage que nous franchissons le Col du Feu Noir, endroit légendaire où eu lieu la bataille qui créa par la suite l'Empire. Ces collines et montagnes escarpés restaient immobiles alors que le vent du nord venait s'étouffer dans la roche éternelle des montagnes. On pouvait voir la fumée des forges naines des environs s’élever dans les airs sans jamais s’arrêter. Finalement, au bout de ce long défilé, s'ouvrait les Principautés Frontalières, Royaume anarchiques de comtes déchus, de bandits et de chevaliers déshonorés, mais dont les multiples combats contre les peuples brutaux des Terres Arides en ont fait un pays accueillant pour peuple de l'ordre.

Je laissai à mes hommes le temps de regarder le magnifique spectacle s'offrant à nous: Une plaine parsemé de collines par dessus lesquels reposait des châteaux et des forêts mystérieuses, le tout baigné dans la lumière dorée du soleil se couchant à l'horizon. Derrière cette plaine fertile s'étendait un immense territoire bien moins accueillant. Les Terres Arides, pays primitif et sauvage, gouverné par des brutes vertes sans cervelle en la personne des peaux vertes, habités par des ogres braillards, des trolls puants, et autres créatures nuisibles...

Je ne put m’empêcher cependant à la beauté du paysage qui s'ouvraient devant nous. Comme mes hommes je continuai ma descente vers les principautés tout en admirant le soleil montrant encore timidement ses rayons. Bien que de nombreux dangers nous attendaient dans ces terres, nous étions tous impatients de partir à la découverte de l'Arabie et de continuer à servir l'ordre et à combattre les forces de la destruction, telle était la volonté de notre empereur. J'arrêtai soudainement ma monture et me tourna vers mes soldats qui stoppèrent net leur progression, attendant que des mots sortent de ma bouche:
"Braves soldats de Catay! commençai je, Après deux jours de marche épuisante, nous arrivons aux Principautés Frontalières! Une fois descendu de ce col, nous irons vers la cité naine de Barak Varr, célèbre ville fortifiée permettant de prendre la mer! Nous allons embarquer dans un navire qui nous transporteras jusqu'à la limite sud des Terres Arides! Nous pourrons ensuite partir vers l'Arabie, objectif de notre voyage!"

Mon discours fut, comme à son habitude, accompagnés par les cris des catayens enthousiastes, scandant mon nom et celui de notre empereur. Mon coeur se réchauffa de fierté, car je ne pouvait espérer meilleur soldats que ces derniers. Je repris la parole après avoir fait signe à mes hommes de se calmer:
"Ce soir, vous avez tous mériter une bonne nuit de repos. Nous installerons le camp un peu plus et repartirons demain quand le soleil seras à son zénith."

Puis nous repartîmes vers le sud, suivant les rayons du soleil qui s’effaçaient de plus en plus et laissait place peu à peu à la nuit et aux deux lunes scintillantes. Ce soir, j'espérais, plus que d'habitude, que mes hommes et moi-même passerions une bonne nuit...

Alors que le soleil éclairait faiblement les contreforts des Montagnes Noirs, les bruits de centaines de pieds squelettiques marchant à l'unisson se fit entendre déjà dans le Col du Feu Noir, accompagné par les battements de tambours et les lourds pas des statues animées du Nehekhara. L'ost damné avança lentement, faisant fuir les animaux et les tribus de peaux vertes trop peureuses pour venir les affronter, avant d'arriver en vue des domaines de l'Empereur, baigné alors dans une brume matinale. Les rangs de morts vivants, immobiles, s’ouvrirent soudainement d'un coup pour laisser passer le meneur de cette force, leur maitre suprême. Alcahizzar le Redouté, roi des tombes du Nehekhara, béni des dieux et prêt à brûler les terres des vivants.

Il lui avait fallu plusieurs semaines de marche à travers l'Estalie et la Tilée avant de finalement s'engouffrer avec ses troupes dans le célèbre Col du Feu Noir. L'armée du désert c'était frayée un chemin en Estalie à travers des embuscades des peaux vertes ainsi que des troupes mené par des répugnateurs chargées de les renvoyer dans la tombe, puis en Tilée dans des groupes de mercenaires cupides, ainsi que des groupes de pillards hommes-bêtes. Mais malgré ça, elle était parvenue à sa destination: l'Empire. Là, la vengeance d'Alcahizzar allait être assouvi. Ces terres regorgeaient de généraux, de templiers et de prêtres-guerriers avides de se mesurer aux légendaires légions du Nehekhara... Ils allaient être servis. Mais la destination du défunt roi apparaissait déjà dans ses yeux: Altorf, la capitale de l'Empire et symbole de sa puissance. Si cette cité tombait, le reste de l'Empire suivrait aussi. Il allait donc accomplir la volonté de ses terribles divinités, du ce t-il en mourir encore une fois.

Le roi des tombes leva alors sa tête cadavérique vers le ciel. Il semblait voir et entendre les dieux vengeurs du Nehekhara sourire et se frotter les mains au vue des carnages à venir. Ils avaient raison, car Alcahizzar le Redouté ne laisserait aucune chance à l'humanité, AUCUNE !!!

Ça y est. Après leur dangereux périple, pour le moins instructif, la tribu des Tripes-Montagnes étaient arrivé au Col du Feu Noir. Le porte d'entrée serait leur porte de sortie. Des mois après avoir franchi ce passage en compagnie d'autres ogres et de nippons, ils repartaient pour de nouvelles aventures et mets exotiques à déguster. Cela réconforta le tyran de la tribu, car il en avait marre de manger de l'impérial et de l'homme bête. Même les halflings qu'ils avaient mangés lors de leur passage dans le Moot, qui avaient un gout esqui devenait au final fades. Il fallait donc quelque chose d'autres à se mettre sous la dent, et aussi des gens à qui offrir leur service. Il formait un groupe redoutable de mercenaire, il serait donc bien payés, sans quoi il se consoleraient en mangeant leurs acheteurs.

La tribu savait déjà quelle serait sa prochaine destination: Le sud. Encore et toujours le sud, jusqu'à ce qu'il soient lassés, dans ce cas là il remonteront vers le nord. Telle était le plan des ogres, descendre puis remonter, remonter puis descendre... Chose pas trop compliqué à savoir faire.
Galrok s'adressa à tous ces guerriers tandis qu'il avançait dans le col:
"Ecoutez moi les gros ! On va aller direction les terres arides, après ça, on descendra en Arabie, puis après on verra hein ? On a le temps pour réfléchir à ça... Urk urk."

Après les applaudissement et les chants de guerre criés bien fort dans le ciel, la troupe se remit en marche. Ils étaient impatients de tomber sur de nouvelles saveurs et de nouvelles aventures...