Canyon prét du Golfe Noir

Les orques étaient bel et bien des abrutis pensais-je, tomber dans un piège si grossier comme l'appât à cheval, Les archer avaient fait de gros dégâts d'après leur capitaine, les orques les avaient suivi comme un enfant après une sucrerie et c'est imbécile avait l'ère contant de tomber sur d'autre ennemie à pied, mais ils ne comprenaient pas qu'ils n'allaient pas en ressortir de ce canyon.
Les pièges des ninjas furent actionnés, des pierres plus grosses qu'un homme tombé par dizaine sur les orques qui furent broyé telles des moucherons par une main. Mais même cela n'empêcha pas la charge orque d'arriver au contacte.

Yoshihiro : « Garder la ligne »

Toute lance dehors mes fidèle ashigaru de bougèrent pas de leur position.

Yoshihiro : « archer, TIRER »

Et de derrière la ligne de front, une volée de flèche vint à la rencontre des force attaquante, cette voler prix sont lots de mort comme elle le devait, mais les orques étaient tous de même arriver au corps à corps. L'impact fût violents, la première ligne de mes soldats fût brisé par la masse animale, même si plus de 20 orques s'étaient empalé sur la forêt de lance, ils ne reculaient pas et enfoncèrent la ligne ashigaru.

Alors des combats violents et sans aucune finesse commencèrent. Les orques étaient arrivés en nombre réduit au contacte il devait en rester moins de 50, j'avançai avec mes 5 samouraïs qui me servait d'unité de commandement, malheureusement les chevaux ne pouvaient être envisagé dans un environnement aussi confiner. Nous arrivâmes au contact de l'ennemie, le premier termina embrocher sur mon arme, dans une rotation de mon corps j'en tranchais un autre de l'épaule jusqu'à l'aine, un troisième m'attaqua au moment ou je retirais ma lame du corps de son homologue. J'avais juste le temps de parer le coup qui fût si terrible que je dusse mettre genou en terre pour ne pas être désarmé sous la puissance de l'attaque. L'orque était dors est déjà partie pour une attaque tous aussi subtile, cette attaque consister à me broyer sous la violence des coups donnés. Alors qu'il relevait sont arme j'en profitai pour faire une roulade arrivant pré du corps de l'adversaire, à la fin de mon mouvement je forçais sur mes jambes pour bousculer l'orque pendant que je me relevais, utilisant le poids de mon ennemie dans le mouvement, celui si tombât sur le dos, le souffle court.

Une fois debout j'abattis ma lame en plein dans son cœur ou du moins ce que j'espérais être son cœur. L'orque fût tué sur le coup. Je me permis de regarder autour de moi, mes gardes samouraïs faisaient un carnage tout aussi implacable, les orques allaient être exterminé. Alors, j’aperçus le chef de bande de ces sauvages, un orque plus gros que les autres qui tenaient une masse à deux mains d'une taille impressionnante. L'orque abattis sa masse sur un ashigaru qui fût broyé sous le coup de boutoir de son ennemie. Cela ne me décontenança pas pour autant, au contraire je m'avancé plus prudemment. Pour cette ennemie il me fallait une attaque foudroyante, tous combat trop long serait dangereux pour moi.

Je rengainais mon katana, mis la main droite sur le fourreau et la gauche sur la garde de mon arme, je ne sais pas si je les dis mais, mais je suis gaucher. Je mis mes jambes dans une position écarté et mon corps de profile, j'étais près au combat. Ma stratégie résidé en une attaque fatale et rapide, le but était de choisir le moment opportun pour me fendre en avant tout en dégainant ma lame dans le même mouvement. Cette technique appris dans les dojos shimazu avait déjà fait c'est preuve sur des hommes, mais pas sur des orques. Me fian le plus possible à ma technique et mon talent dans le maniement du katana, je fisse le vide en moi. L'ennemie me repéra et se jeta dans une charge folle directe. Je pouvais voir tous les détails de son visage hideux, ces dents ou plutôt ces défenses jaunies, c'est petit yeux jaune injecté de sang, l’écume autour de ces lèvres retroussé dans un cri de rage bestial. Voilà qu'il vint dans mon champ d'action, le moment était venu. Je me fendis alors en avant avec une rapidité et une légèreté que mon adversaire ne pouvait égalais, ma lame partie de mon fourreau jusqu'à devant mon torse en une fraction de seconde. J'étais passé sous la garde de mon ennemie qui reçu le coup en pleine poitrine et se termina à sa gorge. Ébahie pas l'attaque l'orque mis c'est mains à son cou dans l'espoir d'arrêter l'hémorragie, il était trop tard l'artère était tranché, il mourut alors à petit feu. Le reste de la bande s'enfuie quand les orques remarquaient la mort de leur chef.

Yoshihiro «Dite à l'archerie monter de traquer les survivant, je veux au minimum deux spécimen vivant, qu'ils utilisent des cordes et des flèches pour les attraper. »

Samouraï : «Bien hatamoto »

Le samouraï parti au loin je ne me faisais pas de souci quant à la capacité des archers à me ramener des survivants. Ils étaient des tireurs d'élite pouvant blesser un oiseau en plein vol à plus de 500 mètres, Alors, un orque fatigué ne serait pas difficile.
Me voilà débarrasser d'un problème et me voilà muni d'un spécimen en plus pour mon père, il serait certainement fier de mes victoires. J'allais pouvoir me concentrer sur la suite des opérations.

Yoshihiro : « Amener mon cheval nous retournons au camp. Apporter 5 corps qu'il soit entreposé dans les cales du bateau avec la tête du kraken, faites bruler le reste des corps ».

Capitaine Ishiko « se sera fait seigneur ».