Krexor pulverisa un autres ork d'un revers de son immense vouge, et regarda le déroulement de son "attaque".
"Attaque" était un bien grand mot, car il s'agissait plus de satisfaire les envies guérrières de ses ogres, les orks n'opposant pas une résistance bien farouche face aux monstres affamés de Krexor.
Un ork, un peu plu gros que la moyenne, totalement nue et peinturlurer de bleue, fondit sur le Tyran en poussant des beuglements de bétes sauvage de sa bouche édentée. Celui-ci attendit qu'il frappe de son "Kikoup'" pour détourner l'arme de son assaillant d'une claquette de son énorme main, puis se saisit de sa téte avec sa main libre comme si il ne pesait rien.
Il leva l'orque qui se démenait pour se liberer de l'entreinte qui lui brisait le crâne, et lui arracha celle-ci dans une gerbe de sang écarlate. Il l'a goba ensuite.
Partout autour, ses ogres piétinnaient, dévoraient et massacraient les sauvages sans aucune pitié, qui devaient les prendres pour des incarnations de leur dieu barbare, Gork (ou Mork).
Pourtant, Krexor savait trés bien que tuer des orks ne suffirait pas à faire parler de lui suffisament dans les royaumes ogres pour attirer le plus de combattants à sa banniére.
Pour cela, il lui faudra massacrer des énemis autrement plus coriace, et il pria la Gueule de satisfaire ses désirs, alors que l'avancée de Krexor en ses terres inconnues faisait couler toujours plus de sang en son nom.
Il lui fallait s'enfoncer profondement dans les Terres Arrides, et en revenir avec le maximum de gloire.